Gabon : Les conséquences économiques de la crise sociale
Depuis plusieurs mois le Gabon est secoué par des grèves multiformes. L’administration publique est paralysée par l’absence des fonctionnaires qui réclament une augmentation généralisée des salaires, le paiement de la prime d’incitation à la performance (PIP) et l’intégration à la fonction publique de plusieurs centaines d’agent contractuel de l’État.
Quel peut être l’impact économique de cette crise sociale ? Mon analyse dans ce reportage de la chaine de télévision internationale Africa24 diffusé 12 mars 2015
Les choses semblent revenir à la normale dans la mesure ou la dynamique a été cassé. A ce qui semble les parties semble disposé à attendre la fin des travaux sur la nouvelle politique de rémunération (juin 2015). La PIP est en partie réglé et les dossier d’agents contractuels en attente sont encore analysé car il y a près de 200 dossiers irréguliers (concernant principalement les candidats enseignants au pré primaire).
Sources: Débat AGORA (entre partenaires sociaux, DG fonction publique notamment… )sur GABON TELEVISION la semaine dernière.
Si des solutions ont été trouvées, alors tant mieux.
La reprise n’est pas effective sur toute l’étendu du territoire.
En effet, la Dynamique Unitaire (tous les syndicat ayant signé une charte à la sortie des premiers travaux d’ANGONDJE) maintien son mouvement. cependant, plusieurs syndicat de l’éducation nationale (qui, outre la hausse des salaire, réclamaient le payement de la PIP) non pas apposés leur accord sur le préavis de grève. Raison pour laquelle les représentants de ces syndicats demandaient à la reprise de cours.
Cependant, il se formerait deux camp au sein même des adhérents (ceux qui maintiennent le grève et ceux qui reprennent les cours). Toujours,
est -il que certain enseignant se rendent dans les salle de classe sans pourtant dispenser des cours et les élèves du lycée technique sont rentré dans la danse, pour faire expulser (sans violence) les élèves des lycées avoisinants.
Si quelqu’un a d’autres informations.